La signalisation routière proprement dite

Elle est faite des signaux conventionnels présentés au bord ou au-dessus (donc en l’air) ou au milieu des routes et des rues. Plus précisément, cette signalisation concerne les routes urbaines (les rues : avenues, boulevard, etc.), les routes interurbaines (les fameuses routes de campagne), les routes littorales, les routes de montagne ainsi que les routes forestières. Vous avez, en outre, les routes nationales, les routes départementales et les routes communales. Toutes ces routes citées ici accueillent des signaux de signalisation routière. Cette dernière comprend les panneaux et les marquages au sol.

Les panneaux

Les panneaux de signalisation routière sont dits signalisation verticale, car ils sont souvent perpendiculaires à la route (posés sur l’asphalte ou fixés dans le sol) ou suspendus en hauteur. Lorsqu’ils sont en forme de triangle rouge et blanc, les panneaux annoncent un risque de danger. Quand ils sont ronds, avec un contour rouge et un intérieur blanc, ils avertissent soit une interdiction, soit une prescription (par exemple : interdiction de dépasser les autres voitures de la voie). L’objet de la consigne est présenté dans le « rond ». D’autre part, un rond au contour blanc et un intérieur bleu foncé signale une obligation.

Il existe enfin 3 types de panneaux qui permettent de s’orienter :
– le rectangle ou carré bleu foncé au contour blanc indique la proximité d’une autoroute ;
– le rectangle blanc annonce une le nom de la localité où arrive l’usager de la route ;
– s’il s’agit d’une grande ville, vous avez plutôt un rectangle vert avec une bordure blanche.

Ces trois signaux sont appelés « panneaux de direction ». Ils sont eux-mêmes, chaque fois, subdivisés en trois catégories : panneaux de pré-signalisation (ils sont de forme rectangulaire et signifie « vous roulez en direction de »), panneaux de position (ce sont des rectangles, dont une des extrémités prend la forme d’une pointe de flèche ; ils signifient qu’il vous faut faire une manœuvre pour rejoindre votre destination), panneaux de confirmation (un grand rectangle avec les noms des villes à rejoindre et le nombre de kilomètres à parcourir pour y parvenir).

Les marquages au sol

Ils constituent ce que l’on appelle « signalisation routière horizontale », car, en général, ils sont dessinés/inscrits directement sur le bitume. Ils sont très souvent « blancs » (l’argent et le gris clair sont considérés comme blanc). Le jaune est beaucoup plus rare. Si blanc et jaune coexistent sur une même route, il faut savoir que le jaune a la priorité. Dans une moindre mesure, le bleu est utilisé lorsque le stationnement est autorisé sous condition. Les plots constituent aussi un type de marquage au sol. Ces marquages sont une mine d’information pour les usagers et principalement pour le conducteur de voiture. Globalement, ils organisent les espaces de déplacement, annoncent les règles de conduite, informent sur le jalonnement, guident pour le stationnement. Enfin, il existe diverses catégories de marquages : longitudinaux, transversaux, lignes (ils sont soient parallèles, soit obliques, soit en zigzag), etc.

Les autres signalisations

Vous avez la signalisation autoroutière : ce sont les panneaux fixés le long et sur les autoroutes pour guider les conducteurs. La signalisation cycliste est destinée à orienter ceux qui circulent à vélo. Les panneaux sont installés aussi bien en bordure de routes qu’au bord des aménagements cyclables. Enfin, il existe la signalisation piétonne. Cette dernière s’adresse aux piétons afin de les guider leur évitant ainsi de se mettre en danger. Vous rencontrez cette signalisation dans les zones piétonnes (interdites aux voitures) et les zones de rencontre.

Les durées

Vous avez la signalisation permanente : l’information qu’elle fournit s’applique sans limites de temps. Il faut respecter les règles données par la signalisation. A contrario, vous avez la signalisation temporaire : l’information est appliquée pour une durée déterminée. Il y a, en outre, la signalisation variable (l’information indique des situations qui évoluent avec le climat, la météo, la saison, la période de l’année). Les signalisations temporaire et variable constituent la signalisation d’exploitation.

Une voiture électrique

Malgré son coût assez élevé, dans les environs de 25 000 dollars au minimum, la voiture électrique en vaut la peine. N’émettant que de fines particules, elle n’émet en revanche ni de CO2, ni de dioxyde d’azote. Comme chiffres, elle émet 65 % de moins de C02 qu’une voiture thermique. Ainsi, elle aura un faible impact environnemental tout au long de son utilisation. Cependant, il est nécessaire de choisir le plus petit modèle aux dépens de vos besoins. En effet, son bilan de carbone est deux fois plus élevé qu’une voiture motorisée. Alors, plus le modèle est petit, moins son bilan de carbone est élevé. Lors de votre utilisation régulière, pensez à la recharger sur une source d’énergie verte, le plus souvent que vous pouvez.

Une motorisation CNG

Si vous n’avez pas les moyens de vous offrir une voiture électrique, mais que vous voulez faire un geste pour l’environnement, transformer votre motorisation en CNG est une bonne solution. Le CNG est le diminutif de gaz naturel compressé. Plus précisément, c’est celui que l’on utilise pour le chauffage. Elle possède une autonomie de 350 km. Son prix environne 3000 euros de plus qu’un moteur à essence. De plus, le prix du CNG est moins élevé que celui de l’essence. Les points de recharges sont nombreux en France, ce qui facilite le plein.

Comprendre le fonctionnement d’un VAE

Aussi appelé vélo à assistance électrique ou VAE, ce moyen de transport à deux roues se différencie d’un vélo classique du fait qu’il est équipé d’un moteur et d’une batterie. La puissance du moteur est délivrée par un capteur magnétique et un variateur qui s’activent lorsque le cycliste effectue des mouvements de pédalage. Sachez qu’il existe plusieurs types d’assistance du moteur d’un VAE : l’assistance par rotation du pédalier, l’assistance par capteur de pression, etc. On peut noter que le premier avantage du vélo électrique est sa capacité à réduire l’effort de pédalage du cycliste.

Un véritable compagnon pour entretenir sa santé

Le cycliste doit pédaler sur un trajet plus ou moins long avant de pouvoir recharger la batterie et d’actionner le moteur pour l’assister. Faire du vélo reste donc une véritable activité physique. Oui, le pédalage d’un VAE sollicite de nombreux muscles chez le cycliste (jambes, dos, hanches, fessiers, etc.). Le cyclisme à travers le VAE dégage également les poumons, améliore la respiration, fait travailler le cœur et renforce ses muscles, entretien le système cardiovasculaire, sans oublier qu’il diminue les risques de développement des cellules cancéreuses (seins et colon). En vous déplaçant avec un VAE, vous évitez le stress causé par les embouteillages.

Un moyen de transport plus économique

Le vélo électrique est moins coûteux qu’une voiture, une moto ou un quad. Par ailleurs, la plupart des villes françaises encouragent actuellement leurs habitants à utiliser le vélo électrique pour se déplacer. Pour ce faire, nombreuses sont les régions qui proposent des subventions afin de faciliter l’achat d’un VAE. Concernant l’achat d’un vélo électrique, les règles à respecter pour obtenir des subventions concernent le type de vélo, la norme NF EN 15194, etc.
Même si c’est un véhicule motorisé, on n’a pas besoin de lui fournir du carburant. L’assurance associée est aussi moins chère. Contrairement à la voiture, on ne risque pas de chercher de longues minutes un parking pour stationner le vélo.

Un moyen de déplacement qui procure de la sécurité

Selon les statistiques, le nombre d’accidents constatés chez les cyclistes est 3 fois inférieur à ce que l’on remarque chez les motards, les voitures et les autres moyens de transport. Cela se comprend, car dans le cas du vélo électrique, il y a une limitation de vitesse qui provoque l’arrêt automatique du moteur lorsque le vélo atteint les 25 km/heure. Cela participe à la réduction des risques d’accident.

Les points à savoir avant d’acheter un VAE

Plusieurs critères entrent en jeu pour trouver le meilleur vélo électrique. Ces points se rapportent aux besoins du cycliste (pour pratique en milieu urbain, pour une randonnée ou pour les courses), mais aussi à ses goûts en termes d’esthétique. Le choix d’un VAE repose aussi sur divers critères, dont le cadre, le poids du vélo, la puissance du moteur et le type d’assistance offert, mais aussi l’autonomie de la batterie, le système de freinage, etc. Il est aussi possible d’opter pour des vélos électriques pliables ou non.

Fixer un budget

C’est bien d’avoir un projet en tête, encore faut-il avoir les sous nécessaires pour le concrétiser. En effet, comme tout achat d’un véhicule, l’acquisition d’une moto repose avant tout sur votre pouvoir d’achat. Soyez réaliste, ne faites pas de dépenses inutiles, car nul ne sait de quoi demain sera fait. Sachez que le prix moyen d’un scooter 50cc neuf varie entre 1400€ et 1500€, tandis qu’une grosse cylindrée se négocie entre 5000€ et 15000€. Les tarifs dépendent bien évidemment de la marque du modèle.

Connaître vos besoins

Avant tout achat, il est très important de déterminer vos vrais besoins : quel type de moto convient à votre trajet habituel ? Quel budget êtes-vous prêt à consacrer en termes de carburant et d’entretien ? Voulez-vous une moto puissante, ou juste ce qu’il faut pour aller au bureau le matin, et rentrer à la maison le soir ? Avez-vous un garage, ou un espace suffisamment sécurisé pour garer votre deux-roues ? Autant de questions pratiques qui ont toute leur importance pour votre sécurité (et celle de votre entourage), et vos dépenses.

Trouver le point de vente idéal

Pour obtenir une moto à un bon prix avec une garantie intéressante, il faut se rapprocher d’un concessionnaire ou d’un revendeur agréé. Cette démarche est la plus fiable, dans la mesure où vous serez assistés par des personnes de confiance lors de vos achats. D’autant plus que vous pourrez facilement vous perdre avec toutes les options et les nouvelles technologies proposées par les constructeurs à l’heure actuelle. Posez-leur les bonnes questions, et soyez toujours prudent, car un produit de bonne qualité ne sera pas forcément proposé à un prix élevé.

Qu’est-ce qu’un prêt automobile ?

Un prêt automobile est un prêt contracté dans le but d’acheter un véhicule à moteur tel qu’une voiture, un Ute, un 4×4, une moto ou tout autre véhicule routier. Un prêt auto peut également être appelé prêt véhicule. Si vous n’avez pas assez d’économies pour vous permettre d’acheter une voiture mais que vous pouvez vous permettre de rembourser un prêt par mensualités, vous pouvez envisager d’utiliser un prêt auto pour financer vos nouvelles roues. Le prêt automobile est un type courant de prêt personnel. Les prêts personnels, en tant que catégorie, couvrent un éventail beaucoup plus large de prêts.

Prêt automobile : avantages et inconvénients

Il convient de réfléchir à certains des avantages et des inconvénients des prêts automobiles avant de décider si un prêt automobile est la bonne décision pour votre situation financière.
Avantages :
– Vous pouvez emprunter un montant illimité – autant que vous en avez besoin pour la voiture, c’est-à-dire – auprès de nombreux prêteurs.
– Vous disposez de 5 à 10 ans pour rembourser le montant.
– Le montant de la dette est fixe, vous ne pouvez donc pas l’augmenter par des achats impulsifs comme vous pourriez le faire avec une carte de crédit ou une marge de crédit sur votre prêt immobilier.
– Le taux d’intérêt moyen d’un prêt automobile est inférieur aux taux moyens des cartes de crédit et des prêts personnels.
– Si vous choisissez un prêt à taux fixe, vous pouvez savoir et budgétiser exactement le montant que vous devez rembourser chaque mois.
– En effectuant vos remboursements mensuels, votre dette finira par être entièrement remboursée.
Inconvénients :
– Vous ne pouvez pas augmenter le montant de la dette, vous devez donc vous assurer au préalable que vous pouvez vous permettre de payer tous les autres frais courants de la voiture, par exemple le carburant.
– Vous devez effectuer tous vos remboursements mensuels, faute de quoi vous risquez de perdre la voiture (dans le cas d’un prêt garanti) ou d’être poursuivi en justice (dans le cas d’un prêt non garanti).

Les premières étapes de réparation

La plupart du temps, un constructeur de bateau pneumatique le livre avec une trousse de secours. Dans cette trousse, on peut avoir des éléments nécessaires pour la réparation rapide d’une coque de pneumatique crevée. Si un petit trou est présent sur le bateau, ce kit sera parfait pour le réparer. Cependant, il faudra d’autres interventions si le trou est assez conséquent. Pour une grosse déchirure, vous devez repérer la partie trouée en dégonflant votre pneumatique et en l’étalant sur une surface plane. Ensuite, prenez une rustine. Cette dernière doit être plus large que la déchirure. Faites en sortes d’avoir environ 3 cm de rustine de plus aux alentours du trou. Appuyez la rustine sur la partie endommagée et tracez à l’aide d’un crayon, le pourtour. Ceci étant, ôtez la rustine et lavez la zone encadrée avec de l’acétone. La technique c’est de prendre un chiffon et de verser l’acétone dessus avant de l’appliquer. Il faut éviter le contact direct du liquide sur le boudin. Vous devez également, prendre soin de bien nettoyer la rustine.

La pose de la rustine et l’étape finale

Avant de finaliser la pose de la rustine, pensez à délimiter la zone de pose avec du scotch. En effet, vous allez utiliser de la colle qui sera difficile à nettoyer si elle dépasse la zone à traiter. Prenez ensuite la rustine et appliquez-y de la colle pour PVC. Pour cela, il est préférable d’en faire l’étalage avec un pinceau. Pensez également à avoir une couche bien épaisse. 3 couches seraient idéales dans ce cas. Ensuite, vous devez aussi mettre de la colle au niveau de la partie tracée sur le boudin. À noter que les scotchs seront déjà en place avant l’étalage de la colle. Faites en sorte que la colle soit bien répartie sur toute la zone à réparer. Une fois tout ceci fait, laissez sécher légèrement. Appuyez votre doigt sur la partie avec colle. Si cette dernière ne tient plus, vous pouvez poser la rustine sur le boudin à travailler. Prenez une cuillère et pressez sur toute la surface à travailler afin d’enlever les bulles d’air entre le boudin et la rustine qui commencent à coller. Ôtez ensuite le scotch et marouflez le bord traité. Enfin, terminez en nettoyant le pourtour avec de l’acétone et vous aurez un boudin gonflable comme neuf.

Les différentes sanctions possibles

Si vous grillez un feu rouge, vous risquerez alors des pénalités, à savoir une amende de 4e classe, une perte des points sur votre permis, une amende de 90 euros minorée, une amende de 135 euros forfaitaire, une amende de 375 euros majorée et une amende de 750 euros maxima.

Qui peut vous pénaliser ?

En France, un automobiliste peut être sanctionné par un agent de la circulation routière ou un radar de feu. Dans tous les cas, le montant de contravention à payer reste toujours le même. Une exception, lorsqu’il y a un véhicule prioritaire derrière vous, vous avez le droit de griller un feu rouge sans pour autant recevoir une sanction. À côté, ne pas brûler le feu rouge pour laisser passer une voiture prioritaire peut vous exposer à une pénalité pour non-respect à un quatre-roues prioritaire.

Quelques informations essentielles à savoir sur les feux rouges

Si vous êtes amené à vous arrêter dans une SAS à vélo, vous ne grillez pas un feu rouge. Par contre, il se peut que vous alliez recevoir une amende de 35 euros minorée à 22 euros sans perte de points. Mais, il arrive qu’on vous photographie via un radar de feu et que vous receviez une sanction de 4 points et de 135 euros. Si c’est le cas, vous avez le droit de contester l’amende en demandant une photo justificative. En général, la réclamation est valable que pendant une période de 45 jours.

Le comportement à adopter en cas de panne de feu rouge

Dans le cas où il y a un feu rouge en panne, le conducteur a le droit de passer. Toutefois, il est impératif de laisser passer les piétons et de respecter la priorité à droit ou encore le panneau se trouvant sous le feu.

Les différents prix par régional

Si vous avez un véhicule en état de marche ou que vous comptez réparer le vôtre pour vous en servir, ou si vous venez de vous offrir un nouveau véhicule, neuf ou d’occasion, la première chose à faire, c’est de s’occuper de la carte grise. Or, cette année, les donnes ont changé, notamment les prix. En cliquant ici, vous vous rendrez compte de tous ces changements. Il faut en tout cas dire que les malus écologiques et les taxes de gestion ont connu une hausse importante. Mais par contre, côté taxes régionales, les chevaux fiscaux ne vont pas trop rogner sur votre budget. Ces prix sont maintenant connus par région. Donc, il vous suffit de voir les prix appliqués dans la vôtre.
Parlons de la taxe fixe, aussi désignée Y4 ou taxe de gestion. De 4 euros, cette taxe a aujourd’hui grimpé à 11 euros. Ce prix est en vigueur depuis le 1er janvier. Pour le prix d’envoi de la carte grise, pas de changement, car il est maintenu à 2,76 euros. Ces montants sont les mêmes à travers la France. Où que vous viviez, vous devez payer la même somme. Quant au prix du cheval fiscal, il y a de légères variations entre les régions.

Informations sur la taxe régionale

La taxe régionale se calcule en fonction de la puissance de votre véhicule, sur la base du prix établi par les Conseils Régionaux. Pour avoir une idée des prix actuels, voici quelques exemples (peut-être que vous êtes concerné par l’un des cas suivants).
Dans les Hauts-de-France, le prix est fixe, et le tarif a été uniformisé et c’est à 33 euros. Si vous habitez en Corse, bonne nouvelle, car le prix du cheval fiscal a baissé : de 41 euros, c’est à présent à 27 euros. Pour la région Nouvelle-Aquitaine par contre, le prix de la taxe régionale a augmenté, de peu certes, mais elle a tout de même augmenté. Donc, désormais, elle est de 41 euros au lieu des 40 euros habituels.
Ces quelques exemples vous montrent que les prix peuvent vraiment varier d’une région à une autre, mais il n’en reste pas moins que ceux-ci sont inférieurs à la moyenne nationale. Celle-ci est dans les 43,24 euros, ce qui est tout de même moindre par rapport à l’année dernière. En effet, en 2020, la moyenne nationale de la taxe régionale s’élevait à 43,92 euros. Mais si vous projetez l’acquisition d’un véhicule hybride ou un modèle électrique, si vous êtes sur le point d’acheter des carburants verts, sachez qu’il y a zéro taxe régionale, quasiment dans toutes les régions.

Variation des prix entre régions

Comme tout le monde, si vous vous apprêtez à acheter un nouveau véhicule, vous vous posez la question : « combien me coûtera ma carte grise ? » Voici quelques autres exemples de prix qui vous seront sans doute utiles. En Provence-Alpes-Côte d’Azur, la taxe régionale est la plus élevée de tout le pays. En effet, elle est à 51,20 euros, ce qui place cette région comme la plus chère en la matière. En Centre-Val de Loire et en Bretagne, il y a une réduction pour les véhicules hydrogènes, électriques, GNV ou GPL, mais ladite réduction est limitée à 50 %. Par contre, sachez que si vous vivez dans un département d’Outre-Mer, cette réduction ne s’applique pas. Elle est valable uniquement en Métropole. À noter que pour les voitures d’occasion de plus de 10 ans, le coût de la taxe régionale sur la carte grise n’a pas changé. Il est toujours divisé par deux. Pour informations, on constate une forte augmentation des malus écologiques sur les véhicules neufs, à se rappeler donc pour votre prochain achat. D’un autre côté, trois surtaxes ont disparu, celles qui concernent les véhicules d’occasion et les véhicules à très forte puissance.

Les normes à respecter

Avant de contacter un professionnel comme https://www.auxporteurs.com/manutention-transport-lourd/transport-container/ pour transporter vos containers, vous devez d’abord connaître les normes concernant les containers qu’il est possible de déplacer sur le territoire français. Tout d’abord, il y a les containers qui sont appelés dry ou ST. Ces types de containers sont fermés hermétiquement et doivent disposer d’une toiture ainsi que de plancher. Ils ont également des parois latérales et cela, en plus de la porte d’accès à l’intérieur du container. Cette porte doit se trouver sur l’une des extrémités du container. Ce type de container peut avoir une hauteur standard (2 591 mm de haut) ou de catégorie high cube (2 896 mm de haut). Il doit aussi respecter la norme ISO 668 et avoir une dimension de 20 pieds ou 40 pieds.

Il existe aussi des containers dits open top, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas dotés de toiture en métal. La toiture peut, dans ce cas, être fabriquée en bâche. Le container aura aussi une dimension de 20 ou 40 pieds.

Ensuite, il y a les containers open side avec des parties latérales qui ne sont pas en métal, mais en bâche. Il est aussi possible qu’une partie latérale soit en métal, mais doit pouvoir s’ouvrir entièrement. On les retrouve sur certains types de camions de transport de marchandises.

Il y a aussi les containers appelés reefer ou à frigo. Ils sont entièrement hermétiques et permettent d’assurer une bonne isolation thermique de l’intérieur du contenant. Ce type de container doit aussi être équipé d’un moteur qui permet de garder une température constante à l’intérieur du contenant.

Comment se passe le levage des containers ?

Le levage des containers, surtout de type dry, doit se faire avec minutie que ce soit dans un port, à la gare ou au niveau d’une entreprise de logistique. Le déplacement d’un container doit se faire avec un camion adapté, avec une plateforme qui peut accueillir soit un container d’une dimension de 40 pieds soit un de 20 pieds. Il est également indispensable que le camion ait une capacité supérieure ou égale au poids du container. Ensuite, il doit y avoir des appareils de levage appropriés sur les lieux de chargement et déchargement des containers. Il est possible qu’on utilise des grues, des chariots de levage, des chariots gerbeurs, des chariots cavaliers ou encore des portiques automoteurs de manutention et des reachstackers dans ce cas. Par ailleurs, avant le levage et avant le déplacement, chaque container qui passe par le service des douanes doit être marqué. Ce marquage assure le bon suivi du container et de la marchandise qu’il contient. Il sert également à bien orienter les marchandises. Au niveau de la douane, ces marquages sont vérifiés minutieusement. Il en sera de même au niveau de la société de logistique qui se chargera de transporter le container vers sa destination finale.

Connecter une valise diagnostic

OBD est l’acronyme de « On Board Diagnostic », ce qui signifie qu’il s’agit d’une prise qui sert surtout à effectuer un diagnostic. Son emplacement diffère selon le modèle et la marque de voiture. Mais en général, elle est située dans l’habitacle du véhicule et du côté du conducteur. Pour effectuer un diagnostic, il faut d’abord brancher un appareil électronique spécifique sur la prise à savoir une valise de diagnostic ou un boitier de diagnostic auto. Une fois connectée sur la prise, la valise peut commencer à lire les informations émises par les calculateurs à l’aide d’un logiciel spécifique. Les constructeurs automobiles utilisent des protocoles de communication différents sur leur voiture. La valise que vous utilisez doit par conséquent être adaptée à votre voiture. Pour plus de praticité, vous pouvez utiliser une valise multimarque comme celle sur prise-obd. Notez qu’une valise est capable de lire les informations sur les erreurs provoquées par certains éléments du véhicule. Dans certains cas, la valise peut corriger ces erreurs.

Changer le comportement de votre véhicule

Pour aider votre véhicule à gagner en puissance, il vous est possible d’effectuer une reprogrammation du moteur. Cette opération consiste généralement à modifier les paramètres d’injection du carburant. Pour cela, il faut modifier certaines lignes du programme contenu dans le calculateur à l’aide d’outils spéciaux. Ces outils sont un boîtier spécial et un ordinateur ou un smartphone. Le boîtier doit être relié à la voiture par l’intermédiaire de la prise OBD2. Vous pourrez ensuite, à l’aide d’un logiciel, obtenir différentes informations sur le moteur et les modifier. Toutefois, certaines données sont souvent rendues inaccessibles par le constructeur. Les informations telles que les itinéraires du véhicule ne sont quant à elles, pas stockées par les calculateurs. Il sera donc difficile, voire impossible, de les modifier. Puis, bien que ce soit une opération complexe qui doit souvent être réalisée par un professionnel, il est possible de faire cette reprogrammation soi-même étant donné que les outils permettant sa réalisation sont facilement accessibles sur le web.

Une faille de sécurité

Une prise de diagnostic obd est initialement conçue pour diagnostiquer une voiture en vue de résoudre d’éventuels problèmes. Autrefois, seuls les professionnels étaient capables d’utiliser cette prise, car il fallait un matériel complexe. Désormais, avec les valises de diagnostic accessibles et faciles à utiliser par les particuliers, tout le monde peut utiliser la prise obd. Cette dernière devient, de ce fait, une faille de sécurité importante. En effet, toutes les voitures reposant sur l’électronique peuvent devenir plus vulnérables. Il suffit de brancher sur la prise des boîtiers spéciaux et d’utiliser certains logiciels pour démarrer un véhicule sans sa clé. C’est grâce à cette méthode que les voleurs modernes arrivent à voler un véhicule sans aucune effraction. Plus besoin d’utiliser un matériel complexe et onéreux pour reprogrammer une clé. Le matériel peut s’acheter à 1 000 € environ. Il est à noter que l’utilisation de ces logiciels facilitant les vols sans effraction est tout à fait illégale.